- densité de population,
- taux de demandeurs d’emploi,
- etc.
afin de trouver le moyen de permettre à nos organismes de continuer à agir au bénéfice de la compétitivité des entreprises et de l’attractivité de nos bassins d’activité.
Le concept de « service minimum pour l’activité consulaire » est à l’étude et son adoption pourrait se traduire par l’octroi d’une dotation spécifique aux CCIT éligibles, dont la nôtre bien entendu, leur permettant de continuer à accompagner les entreprises et à participer au développement de l’économie locale.
Pour l’heure, rien n’est acquis, notamment en raison de l’éclatement de notre réseau national et des positions différentes défendues en son sein sur la question cruciale de l’affectation de la TFC.